« Article paru dans L’Est Républicain le 13 octobre 2019 »
Les grands évènements comme les petits sont soumis à des aléas multiples. Les aspects climatiques sont ici évoqués mais les conflits sociaux, le vandalisme ou une menace majeure peuvent aussi apparaitre.
Dans nos régions, le vent est un élément clé des manifestations en plein air.
L’existence de plan de repli et de procédures de crise sont une évidence. Elles doivent être pensées en amont, testées si cela est possible et intégrer la dimension de communication. Comme tous les plans de crise.
La question assurantielle est toujours un casse-tête, notamment du fait des clauses précisant la survenance d’un sinistre (et donc les causes exclues du contrat !).
Dans tous les cas, c’est l’anticipation et une préparation rigoureuse qui permet d’aborder sa manifestation de manière plus sereine.