La crise du Covid-19 montre combien les secteurs d’activité sont imbriqués. Et la chaîne des sous-traitants qui opèrent autour des événements est longue et variée.
Ainsi les sports mécaniques auto et moto génèrent en France 2,3 milliards de CA dont 510 M€ de valeur ajoutée. Dans cet ensemble, les événements et les médias pèsent 18 %. Entre grands événements médiatisés « Le Grand Prix de France de F1 au Castellet » ou des manifestations plus modestes, les sports mécaniques passionnent un large public.
La sécurité de ces activités, aussi bien celle des pilotes que celle des spectateurs, présente des spécificités importantes dès que des moteurs sont en route.
Aussi bien sûr un circuit permanent de type ERP que sur la voie publique, les sports mécaniques sont un défi pour leurs organisateurs.
On retrouve cette similitude de contraintes réglementaires dans les meetings aériens.
Article paru dans le Ouest-France